Audrey Jezic
Céramiste, née en 1988 à Paris. Vit et travaille dans les Hauts-de-Seine (92).
Diplômée d’une école de commerce, Audrey Jezic travaille six ans en finance d’entreprise avant d’entamer une reconversion. Elle choisit de devenir céramiste, pour réaliser son rêve d’enfant et travailler de ses mains au quotidien. Elle se forme à l’école « Arts et techniques Céramiques », où elle obtient un CAP tourneur, puis installe son atelier-showroom au sein de la galerie d’artisanat d’art "La Verrière" à Suresnes, où elle façonne des sculptures aux lignes sobres et sensuelles, aux côtés de neuf autres artisans d’exception.
Lorsqu’elle sculpte, Audrey va à l’essentiel. Elle privilégie la sobriété de la forme et le goût de l’épure. Après avoir dessiné ses pièces au préalable, elle modèle des grès colorés et chamottés qui apportent chaleur et sensualité à ses sculptures tout en leur conférant une texture un peu «brutale», invitant au toucher.
Lorsqu’elle sculpte, Audrey va à l’essentiel. Elle privilégie la sobriété de la forme et le goût de l’épure. Après avoir dessiné ses pièces au préalable, elle modèle des grès colorés et chamottés qui apportent chaleur et sensualité à ses sculptures tout en leur conférant une texture un peu «brutale», invitant au toucher.
Grâce aux différentes techniques de modelage, sa main est en contact direct avec la matière. Audrey apprécie de pouvoir façonner la terre en se fiant à son sens du toucher, à ses sensations, avec le moins d’outils possible. C’est sa main qui guide le geste ; puis son œil vient apporter les dernières corrections.
Son univers est singulier et reconnaissable : ses sculptures aux lignes courbes évoluent dans un univers onirique et fantastique, empreint de magie. Chacun de ses « Grands dodus », figures symboliques sans visage, évoquant l’humain avec humour et poésie, a une histoire propre et une personnalité unique.
Son univers est singulier et reconnaissable : ses sculptures aux lignes courbes évoluent dans un univers onirique et fantastique, empreint de magie. Chacun de ses « Grands dodus », figures symboliques sans visage, évoquant l’humain avec humour et poésie, a une histoire propre et une personnalité unique.