Julie Bergeron
Céramiste, née en 1966 à Québec. Vit et travaille à Pantin (Ile-de-France).
Originaire du Québec, Julie Bergeron, installée en France depuis 2002, est graphiste de formation et de métier. Rêvant de pouvoir s’exprimer par le volume et désirant approfondir son lien avec la nature, la céramique s’impose à elle.
C’est auprès de Danielle Lescot qu’elle s’y initie de 2008 à 2012, puis se perfectionne de manière autodidacte. Depuis son atelier à Pantin, elle façonne des sculptures en grès à la fois étranges et fascinantes, évoquant des créatures mystiques ou des végétaux venus d’ailleurs.
Julie Bergeron construit ses pièces avec la technique du colombin, ce qui lui laisse une grande liberté de forme. Elle travaille le grès, exclusivement, qu’elle laisse brut, sans aucun émaillage, pour conserver son aspect minéral. Puis en gravant, ajoutant de la matière ou répétant des formes - ventouses ou pointes - elle habille ses créations de détails qui leur confèrent un aspect unique.
Julie Bergeron construit ses pièces avec la technique du colombin, ce qui lui laisse une grande liberté de forme. Elle travaille le grès, exclusivement, qu’elle laisse brut, sans aucun émaillage, pour conserver son aspect minéral. Puis en gravant, ajoutant de la matière ou répétant des formes - ventouses ou pointes - elle habille ses créations de détails qui leur confèrent un aspect unique.
Inspirée par les dessins de l’artiste et biologiste allemand Ernst Haeckel, qui a illustré la grande diversité et la beauté du monde vivant, mais également par l’Art nouveau et son esthétique de la courbe, Julie crée des sculptures inspirées de toutes formes organiques.
Pour "Ambivalence" et "Coques", ses deux plus récentes collections, la céramiste prend plaisir à mélanger les genres, à brouiller les pistes : sommes-nous dans le monde végétal, animal, microscopique ? "Dragons des mers", « "Chenille", "Coques à pointes" et autres "Foisonnement" interrogent les thématiques du mouvement et de l’équilibre.
Pour "Ambivalence" et "Coques", ses deux plus récentes collections, la céramiste prend plaisir à mélanger les genres, à brouiller les pistes : sommes-nous dans le monde végétal, animal, microscopique ? "Dragons des mers", « "Chenille", "Coques à pointes" et autres "Foisonnement" interrogent les thématiques du mouvement et de l’équilibre.